A l’instar de The world god only knows, Les 100 petites amies qui t’aiiiment à en mourir nous présente un protagoniste qui va faire chavirer une à une plusieurs filles. La différence ici c’est que la série prend totalement la voie du harem, puisque la relation avec chaque fille va perdurer. Cela permet une toute autre alchimie, tandis que l’on assiste au développement des relations au sein de ce polynôme amoureux.
Auteur : Api
Focus – Mage and Demon Queen
À l’instar de I’m in love with the Villainess, Mage & Demon Queen démarre sur un antagonisme amusant qui va progressivement se muer en relation amoureuse. Malori se lance à corps perdu pour clamer son amour pour Vel, quitte à prendre des coups et pire encore. La différence ici, c’est que l’élue de son cœur est d’une autre race, mais surtout la plus grande ennemie de l’humanité.
La réalisation cinématographique et ses conventions
Au début de la diffusion de la dernière née du studio GoHands, j’avais vivement critiqué les choix de réalisation de la série. Une polémique plus tard, je pense qu’il est essentiel de s’attarder sur l’importance de la réalisation cinématographique, ses codes et ses conventions.
La culture japonaise dans l’animé Pokémon
Comme beaucoup de gens de ma génération, j’ai découvert Pokémon avec le début de sa diffusion à la télé. A l’époque, c’était un dessin animé comme un autre pour nous ; pourtant l’animé fourmille d’éléments de la culture japonaise quand on s’y attarde bien.
La traduction comme réadaptation de l’oeuvre
Il y a peu, j’avais parlé des différences de medium entre animé et manga, et du fait qu’une adaptation de l’un à l’autre ne pouvait donner un résultat fidèle en tous points. Aujourd’hui, j’aimerais pousser la réflexion, mais sur le sujet de la traduction. D’une certaine manière, traduire une œuvre, c’est également proposer une réadaptation de celle-ci. Naturellement, je vais me focaliser sur le thème de la traduction de light novel, mais la réflexion s’applique également aux animés et aux mangas.
Animé et Manga, deux médiums différents
Chaque saison, on a droit aux complaintes de lecteurs de mangas déplorant que l’adaptation en animé de leur œuvre favorite ne ressemble pas à ce qu’ils ont lu. Ceci dit, on peut difficilement leur en vouloir tant les deux médiums sont étroitement liés. Même dans le langage courant, beaucoup disent encore qu’ils « regardent des mangas ». Pourtant, il suffit de s’y pencher un peu pour rapidement réaliser qu’animé et manga ont finalement bien peu de points communs.
Disney +, le nouveau Netflix de la japanimation
Il y a un an, j’avais abordé l’incursion de Disney dans la japanimation avec le cas Star Wars Visions, une expérience relativement mitigée, tant pour son contenu que pour le travail médiocre proposé par Disney +. Autant dire que j’avais été plutôt circonspect quand on a appris que la plateforme allait proposer plus d’animés à l’avenir, et notamment des projets originaux.
Retour sur les animés de saison – Été 2022
Salut, tout le monde ! Précisément un an après notre dernier bilan de saison, l’équipe est à nouveau d’attaque pour qu’on revienne ensemble sur les animés de l’été avant une saison d’automne particulièrement chargée. À noter qu’il s’agit également de la première contribution d’Arias sur Le Dévorêve. Bienvenue à lui !